A l'écart des courants conventionnels, en contre-bas des principes obscurantistes et au-dessus des idées reçues, on peut encore et toujours s'élever! Salvador DALI dans sa grande extrème sagesse avait toujours le doigt pointé sur l'essentiel. Sa main suivait un tracé que son esprit contrôlait au début, puis il s'enfuyait très loin de l'idée initiale. Et par touches successives il retrouvait le chemin initial, sans paraitre avoir été dérangé.
En fait, il se faisait une série de caricatures progressives qui répondaient à des envolées instinctives. Ensuite de quoi, revenant au "travail sérieux" il semblait atterrir et retrouvait son rythme de croisière.
Quand un artiste travaille seul, tout est possible. C'est en présence d'un public, devant se donner en spectacle que l'artiste devient quelqu'un d'autre. Je me souviens que ça m'avait frappé au début de mes relations de maître à éjève avec DALI. Lui, ça l'amusait beaucoup.
En fait, il se faisait une série de caricatures progressives qui répondaient à des envolées instinctives. Ensuite de quoi, revenant au "travail sérieux" il semblait atterrir et retrouvait son rythme de croisière.
Quand un artiste travaille seul, tout est possible. C'est en présence d'un public, devant se donner en spectacle que l'artiste devient quelqu'un d'autre. Je me souviens que ça m'avait frappé au début de mes relations de maître à éjève avec DALI. Lui, ça l'amusait beaucoup.
C'est en s'approchant des dates fatidiques...Que l'on mesure les chemins parcourus, surtout s'ils ont été tortueux, hors des sentires fréquentés et que la corne recouvre la plante des pieds...Alors on se souvient des rares jours heureux qui ont éclairé ce chemin qui au fond, à bien y réfléchir, ne mêne nulle part...! Et il en a fallut du temps pour le comprendre )))
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